Ils sont députés, sénateurs, chefs d’entreprise, intellectuels…Pareto les appelait les « élites ».
Michel Onfray les qualifie, comme ceux qui ont le pouvoir « de dire et de faire ».
Ces élites sont favorables à l’immigration de masse et ce, depuis plus d’un demi-siècle. Pourquoi ? Par humanisme pour certains mais surtout par intérêt économique et électoral pour les autres.
En face, le peuple français. Les gens qui subissent chaque jour les dommages de l’immigration de masse : vols, viols, agressions, fraudes, toxicomanie etc. Et eux, toujours en contact avec le réel, refusent cette immigration imposée par leurs dirigeants.

Il y a en fin de compte un antagonisme total entre ces deux visions, à la différence près qu’une partie l’impose à l’autre, en violant l’essence de la démocratie, le consentement du peuple (volonté générale).
Ce sujet est devenu majeur dans le débat public et il faudra, coûte que coûte, que les français arrivent à imposer leur vision pour la France, à leur élite parjure.
Ce présent qui requiert «un zéro immigration», ne se conjugue plus avec «une immigration heureuse et bienveillante», qui a pris du plomb dans l’aile depuis plus d’une quarantaine d’années, au grand dam des politiques, qui font toujours comme si de rien était.