Le Dauphiné-Libéré retrace dans un long article en date du 4 mars l’activité de Madame le sous-préfet de l’arrondissement de Briançon, Dalila Zane, concernant les chantiers d’insertion.

Première question, qui nous vient à l’esprit :

Quelles sont les personnes qui bénéficient de ces dispositifs ? Là, c’est plutôt flou.

Deuxième question : Quel est le coût de ces opérations et qui les endosse ? Pas de réponse.

Pour finir, quelle est l’efficacité de ces mécanismes qui devraient être temporaires et diriger les bénéficiaires dans la vie active ? C’est silence radio à l’autre bout du fil.

Bref, « l’insertion » caractérise typiquement un mot issu de la novlangue qui ne veut rien dire mais qui sert surtout à masquer un chômage de masse et des problèmes sociaux liés à l’immigration, le tout financé par le contribuable, qui paye encore et toujours plus de taxes, d’impôts et de charges.

In fine, le marketing politique, façon Macron, c’est aussi dans les Hautes-Alpes, via les représentants de l’Etat comme Madame Zane.